Une patiente de l'Hôpital de Montréal pour enfants sonne la cloche pour célébrer sa rémission.
Après près de neuf mois de traitement, , patiente à l’HME, a sonné la cloche pour célébrer la fin de son traitement et le début de sa rémission. Le Fonds Bell, créé par Judy Martin, une ancienne patiente en oncologie du CUSM, fournira les Comforts Kits à plus de 4500 patients atteints du cancer qui sont nouvellement diagnostiqués et traités chaque année au CUSM. Regardez les images sur Global News et apprenez-en plus sur le fonds dans The Suburban.
Quoi de neuf à l'Hôpital de Lachine
Jacques Filion, président de la Fondation de l'Hôpital de Lachine, discute de la mission de la fondation, de l'histoire de l'hôpital et du plan de réaménagement de l'ancien bâtiment âgé de 102 ans. Regardez l'entrevue complète sur MaTV.
Rester en sécurité sur les trottoirs glacés
La semaine dernière, les rues et les trottoirs étaient glissants dans toute la ville à cause de la pluie verglaçante et le CUSM a reçu beaucoup de visites à l’urgence. Le Dr Frédéric Dankoff, coordinateur médical pour les sites adultes du CUSM, a fourni quelques conseils sur la façon de demeurer en sécurité dans ces conditions et a discuté des signes à surveiller après une chute et quand se présenter à l'urgence. Regarder les entrevues à la Breakfast Television, puis à CTV et lire le suivi dans la Montreal Gazette.
La grippe inquiète les parents et remplit les urgences
En pleine période de pointe pour la grippe, le temps d’attente dans les urgences s’alourdit et fait craindre aux médecins que de plus en plus de parents s’y présentent. Le Dr Harley Eisman, chef des urgences de l’HME, discute les symptoms qui meritent une visite à l’urgence. Ecoutez l’entrevue qu’il a accordé a Breakfast Television et lisez la suite à TVA Nouvelles, le Journal de Montréal, CBC News et CJAD.
Le Neuro mise sur l’approche “science ouverte”
Malgré toute la recherche qui se fait, on n’arrive pas encore à traiter efficacement les personnes atteintes de maladies qui affectent le cerveau. C’est le constat que fait la direction du Neuro — et qui a décidé d’innover en partageant avec tout le monde ses données de recherche. Le Neuro est même en passe de devenir le premier centre de recherche au monde à faire ce qu’on appelle de la « science ouverte ». Lisez l’article au complet dans Le Devoir.
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