Le CUSM dans les médias - 31 mars 2025

L’intelligence artificielle pourrait raffiner le diagnostic de l’autisme
L’intelligence artificielle pourrait raffiner le diagnostic de l’autisme

Les critères associés aux mouvements répétitifs, aux intérêts nettement restreints et aux comportements fondés sur la perception sont plus fortement liés à un diagnostic d’autisme que les critères de socialisation, notamment la réciprocité émotionnelle, la communication non verbale et l’établissement de relations, indiquent des travaux réalisés à l’Institut-Hôpital neurologique de Montréal (Le Neuro). Les chercheurs, dont Danilo Bzdok, neuroscientifique au Neuro et coauteur principal de l’étude, ont analysé des comptes-rendus cliniques d’observation à l’aide de l’intelligence artificielle. La Presse, CTV News 

Les difficultés financières pendant le traitement du cancer
Les difficultés financières pendant le traitement du cancer

Selon un rapport publié en mars 2024 dans le Journal de l'Association médicale canadienne, jusqu'à 40 % des patients au Canada font état d'une détresse financière à la suite d'un diagnostic de cancer, notamment en s'inquiétant des paiements hypothécaires, en épuisant leurs économies et en retournant au travail avant d'être physiquement prêts. Virginia Lee, chef de service au Programme des services de soutien et soins palliatifs au Centre du cancer des Cèdres et Kathleen Exley, travailleuse sociale au CUSM, expliquent que les équipes médicales peuvent offrir du soutien dans ce type de situation et que les patients ne doivent pas avoir peur d’en parler avec elles. CBC

Comment reconnaître les manies et les troubles obsessifs compulsifs?
Comment reconnaître les manies et les troubles obsessifs compulsifs?

La psychologue à l’Institut Allan Memorial du CUSM Catherine Ouellet-Courtois met en lumière la manière dont les troubles obsessifs compulsifs (TOC) peuvent affecter la santé mentale des étudiants Le délit

L’épinéphrine pourrait réduire les hospitalisations aux soins intensifs pédiatriques après une réaction allergique grave
L’épinéphrine pourrait réduire les hospitalisations aux soins intensifs pédiatriques après une réaction allergique grave

Les enfants ayant reçu de l’épinéphrine avant d’arriver à l’hôpital lors d’une réaction allergique grave (anaphylaxie) ont moins de risques d’être hospitalisés aux soins intensifs, démontre une récente étude menée par le Dr Moshe Ben-Shoshan, scientifique à l’Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill et spécialiste en allergie et immunologie pédiatrique à l’Hôpital de Montréal pour enfants. CityNews

La COVID longue : Un défi toujours présent pour de nombreux patients
La COVID longue : Un défi toujours présent pour de nombreux patients

Alors que bon nombre ont tourné la page sur la COVID-19, la bataille continue pour d’autres. La COVID longue demeure une réalité difficile affectant de manière significative les activités quotidiennes et la qualité de vie des patients atteints. Le Dr Don Vinh, microbiologiste, souligne l'importance de poursuivre les recherches sur la COVID longue afin de mieux comprendre cette maladie complexe et de développer des traitements efficaces. CityNews

Une clinique à domicile... ou presque
Une clinique à domicile... ou presque

Une première clinique pédiatrique mobile appelée DocTocToc vient de voir le jour dans le nord de Montréal afin de répondre aux besoins de santé des enfants de cinq ans et moins. Il s’agit d’une initiative de la Dre Rislaine Benkelfat, pédiatre à l’Hôpital de Montréal pour enfants. CityNews

Potiner, est-ce bon pour la santé mentale?
Potiner, est-ce bon pour la santé mentale?

Le potinage permet de partager des informations sur les autres et de maintenir des liens sociaux au sein d’un groupe. Cependant, il peut également avoir des conséquences néfastes, notamment sur la réputation des individus. En ce sens, il est crucial de faire attention au contenu des informations partagées avec les autres et de faire preuve de discernement. La directrice du département de psychologie des sites adultes du CUSM, Jennifer Russell, fait part de ses réflexions sur les ondes de CJAD.

Démêler le syndrome des ovaires polykystiques
Démêler le syndrome des ovaires polykystiques

Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) est l’un des troubles hormonaux les plus répandus. Toutefois, jusqu’à 70 % des femmes atteintes du SOPK ne sont pas diagnostiquées, selon l’Organisation mondiale de la santé. Dr Togas Tulandi, chef du département d’obstétrique et de gynécologie au CUSM, explique les différences entre le SOPK et les ovaires polykystiques, et l’importance de bien diagnostiquer ce syndrome. Montréal en santé

Un événement pour promouvoir la santé et le bien-être
Un événement pour promouvoir la santé et le bien-être

La Dre Tamara Gafoor, urgentologue à l’Hôpital de Montréal pour enfants, tiendra cette semaine l’événement « Wellness Week » à travers son organisme More than a cure pour promouvoir la santé et sensibiliser le public au cancer du sein. CJAD