Le CUSM dans les médias - 26 mai 2025

L'Hôpital général de Montréal estime avoir trouvé une partie de la solution aux urgences débordées en ouvrant un centre de jour pour des soins non urgents, qui lui a permis de voir plus de 2000 patients et libérer des lits. « C’est vraiment pour raccourcir l’hospitalisation des patients et donner une alternative à l’urgence », explique la cheffe d’unité des soins infirmiers à l’Hôpital général de Montréal, Radia Boukheroufa. Le directeur associé aux soins infirmiers, Gino Curadeau, estime que la nouvelle unité a permis à l’hôpital de libérer l’équivalent de 10 lits d’hospitalisation. En plus de réduire le temps sur civière des visites à l’urgence. Journal de Montréal

Le quotidien de Mario, 14 ans, a radicalement changé en janvier dernier. Après avoir attendu toute sa vie, le patient de l’Hôpital de Montréal pour enfants a finalement reçu avec succès une greffe rénale particulièrement complexe, qui constitue une première au Canada. Avec la participation de la Dre Mallory Downie, néphrologue pédiatrique. CTV News

Québec distribuera 450 défibrillateurs à travers la province dès cet été, un pas de plus vers la cible de 1000 appareils fixée par le gouvernement il y a deux ans. Écoutez le Dr François de Champlain, urgentologue au CUSM et fondateur et président de la Fondation Jacques-de Champlain, un organisme de bienfaisance dédié à l’amélioration des soins de réanimation sur le sujet au micro du 98,5 FM.

Vapoter du cannabis serait-il moins dommageable pour la santé que de le fumer ? C’est ce que semblent penser beaucoup de gens. Or, deux études dirigées par Carolyn Baglole, Ph. D. à L’Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill (L’Institut) suggèrent que vapoter du cannabis pourrait (également) présenter des risques pour la santé pulmonaire. City News

Lorsqu’un proche vous annonce être en couple avec une personne beaucoup plus jeune, il est naturel de se poser des questions. Ce type de relation peut surprendre, voire susciter l’incrédulité. Pourtant, plusieurs facteurs peuvent expliquer une telle dynamique amoureuse : la recherche de stabilité ou de sécurité affective chez la personne plus jeune, et, chez la plus âgée, un désir de renouveau et de vitalité. « Une telle relation peut révéler des enjeux d’attachement profonds », explique Jennifer Russell, cheffe du département de psychologie des sites adultes du CUSM. CJAD