Le CUSM dans les médias - 26 Juin 2023

Les résultats d’un essai clinique international récemment publiés dans The New England Journal of Medicine feront évoluer les traitements pour le cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC), la forme la plus courante de cancer du poumon, selon le Dr Jonathan Spicer, auteur principal et chirurgien en chef de l’étude, scientifique au sein du Programme de recherche sur le cancer de l’IR-CUSM et chirurgien thoracique à l’Hôpital général de Montréal.  Dans cet essai clinique, un médicament d’immunothérapie appelé pembrolizumab, utilisé en conjonction avec une chimiothérapie néoadjuvante (c’est-à-dire administrée avant l’intervention chirurgicale) puis à nouveau après l’opération, s’est révélé efficace pour ralentir la progression du cancer chez les patients atteints d’un CPNPC opérable de stade précoce. CTV News, Le Devoir, Journal Métro, CJAD

Par ailleurs, le Journal de Montréal raconte l’histoire d’une mère de trois jeunes enfants qui peut maintenant profiter de précieux moments en famille après avoir été traitée au CUSM pour un cancer du poumon avancé, qui s’attaquait déjà à ses os. Le Dr Robert Turcotte, chirurgien au sein de l’équipe d’orthopédie-oncologie du CUSM, et la Dre Linda Ofiara, pneumologue au CUSM, parlent des progrès thérapeutiques qui ont rendu cela possible.

Encore cette semaine, les nouvelles lignes directrices canadiennes pour la détermination de la mort suite à un arrêt circulatoire ou de la fonction neurologique ont retenu l’attention des médias. Ces lignes directrices sont le fruit du travail d’un groupe multidisciplinaire dirigé par le Dr Sam Shemie, chercheur à l’IR-CUSM et spécialiste en médecine des soins intensifs pédiatriques à l’Hôpital de Montréal pour enfants. The Globe and Mail, CTV News

Le D^r Tarek Razek, chef du département de traumatologie du CUSM, parle de l’initiative du Centre de chirurgie globale du CUSM, qui a produit des capsules vidéo traduites en ukrainien pour aider des médecins ukrainiens à soigner des blessures de guerre. Le Devoir

Comme l’indique une étude publiée dans Pediatric Pulmonology, une variante génétique présente chez des populations inuites du Nunavut et du Nunavik et jusqu’alors non identifiée causerait une maladie respiratoire appelée dyskinésie ciliaire primaire et pourrait contribuer de manière importante aux pneumonies récurrentes et aux maladies pulmonaires chroniques observées chez les Inuits. Le Dr Adam Shapiro explique l'histoire derrière cette découverte et pourquoi les études génétiques sur les patients atteints de maladies pulmonaires graves sont cruciales. Cabin Radio

Dans un article portant sur l'aggravation des problèmes auxquels sont confrontées les urgences au Canada, le Dr Marc Béique, médecin urgentiste au CUSM, affirme qu'il n'y a pas de réponse facile et que de multiples solutions sont nécessaires. CBC News

Danielle Lepage se dévoue pour la recherche sur la neuropathie sensorielle depuis des années.Récemment, elle a annoncé  qu’une somme de 25 840 $ qui a été amassée dans le cadre de sa campagne de financement 2022. Les fonds réunis soutiendront les recherches du Dr Bernard Brais, du Neuro (L'Institut-hôpital neurologique de Montréal). Le Dr Brais a consacré sa carrière à tenter de comprendre et de développer des traitements pour les maladies génétiques héréditaires plus fréquentes au Québec, dont les neuropathies sensitives.  L’Action.