Équipe de professionnels

TAU Équipe de professionnels

 

Nisha Almeida est gestionnaire de l'Unité d'évaluation des technologies de la santé (TAU) du CUSM. Elle détient un baccalauréat en biologie moléculaire et un doctorat en épidémiologie et biostatistique de l'Université McGill. Elle a une formation avancée en méthodes épidémiologiques et biostatistiques et une expérience spécifique dans l'évaluation et la mise en œuvre de technologies et d'interventions sanitaires.
Elle était auparavant épidémiologiste principale à TAU et a dirigé la mise en œuvre d'initiatives d'amélioration de la qualité des hôpitaux tout en coordonnant la participation de divers intervenants, la collecte de données et les efforts d'analyse. Elle a joué un rôle clé dans le développement d'un outil d'aide à la décision pour traduire les preuves scientifiques en recommandations de politique hospitalière. Son travail a été publié dans la littérature évaluée par des pairs et elle a réussi à obtenir des fonds pour des initiatives hospitalières. Nisha est particulièrement intéressée par l'exploitation des données hospitalières pour améliorer les résultats et les services de santé.

James Brophy est président de l’Unité d’évaluation de la technologie du Centre universitaire de santé McGill. Il est cardiologue praticien et titulaire d’un doctorat en épidémiologie et biostatistique. Il est boursier du Fonds de recherche du Québec (Santé) en évaluation des technologies de la santé et en médecine factuelle. Ses intérêts de recherche portent sur l’épidémiologie cardiovasculaire avec un intérêt particulier pour la pharmaco-épidémiologie, la recherche sur les résultats, la prise de décisions médicales ainsi que les évaluations des technologies de la santé comprenant les analyses économiques. Il a publié plus de 150 articles évalués par des pairs. Il est professeur à temps plein au Département de la médecine, d’épidémiologie et de biostatistique de l’Université McGill.

Thiphavone Oudanonh est assistant de recherche à l'unité d'évaluation technologique du Centre universitaire de santé McGill. Elle est titulaire d'un BSc en biochimie et d'un certificat en méthodes quantitatives de l'UQAM ainsi que d'une MSc en épidémiologie de l'Université Laval. Son principal objectif est de fournir des preuves valables pour appuyer les décisions en matière de santé.

Ian est biostatisticien à l'Unité d'évaluation technologique et à l'Institut de recherche du CUSM. Il a obtenu sa maîtrise en statistique de l'Université du Québec à Montréal (UQAM). Ses intérêts incluent les statistiques bayésiennes, la précision des tests de diagnostic et le développement d'applications R Shiny. Il enseigne l'introduction à la statistique à l'UQAM.

Eva Suarthana est agent de planification, de programmation et de recherche à l'Unité d'évaluation des technologies de la santé (TAU) du Centre universitaire de santé McGill (CUSM). Après avoir obtenu son diplôme de la Faculté de médecine de l'Université d'Indonésie à Jakarta, elle a complété ses études de maîtrise en épidémiologie clinique à l'Institut néerlandais des sciences de la santé de Rotterdam et son doctorat à l'Institut des sciences de l'évaluation des risques de l'Université d'Utrecht, en Pays-Bas. Elle a effectué son post-doctorat en tant que responsable du service de renseignement sur les épidémies au Centers for Disease Control and Prevention (CDC) aux États-Unis. Depuis qu'elle a déménagé au Canada, elle travaille comme épidémiologiste médicale. Elle a rédigé des demandes de subvention réussies et possède un solide dossier de publications dans le domaine de la santé publique et de la santé des femmes. Rejoindre le TAU, elle vise à soutenir les services de santé fondés sur des données probantes et le processus décisionnel pour l'adoption de nouvelles technologies de la santé au CUSM. Elle est professeure adjointe à l'Université McGill et chercheuse associée à l'Institut de recherche du CUSM. 

Valérie est agente de recherche à l'Unité d'évaluation technologique. Elle termine son doctorat à l'Université Concordia et détient une maîtrise en éthique et spiritualité dans les soins de fin de vie. Elle souhaite contribuer à l’amélioration de l’analyse contextuelle grâce à des méthodes qualitatives et faire le pont entre la théorie et la pratique à différents niveaux d’initiatives organisationnelles.