Le programme en schizophrénie spécialisée pour la prise en charge de la psychose précoce (PSSPP)

Notre équipe

L’équipe administrative du PSSPP :

Theodore Kolivakis, MD, FRCPC
Coordonnateur clinique des soins tertiaires contre la schizophrénie au Centre universitaire de santé McGill
Professeur adjoint au Département de psychiatrie et au Département de neurologie et de neurochirurgie de l’Université McGill.
Codirecteur de la Clinique de neuromodulation (CUSM)

Marc Laporta. MD, CM, MSc, FRCPC 
Psychiatre associé au Centre universitaire de santé McGill (CUSM)
Coordonnateur de la formation de premier cycle du Département de psychiatrie
Professeur adjoint au Département de psychiatrie de l’Université McGill
Directeur du Centre collaborateur OMS/OPS de Montréal pour la recherche et la formation en santé mentale de l’Institut Douglas.

Howard Margolese MD, CM, MSc, FRCPC 
Directeur médical du Programme en schizophrénie spécialisée pour la prise en charge de la psychose précoce (PSSPP) du  Centre universitaire de santé McGill (CUSM)
Professeur adjoint au Département de psychiatrie de l’Université McGill
Directeur du service de consultation de l’Unité de psychopharmacologie et de thérapeutique cliniques
Directeur du programme de premier épisode de psychose du PEPP du CUSM
Directeur de programme au programme agréé de formation spécialisée en pharmacologie clinique du CRMCC de l’Université McGill

Ronna Schwartz, M.A., OTR
Coordonnatrice administrative-clinique du Programme en schizophrénie spécialisée pour la prise en charge de la psychose précoce (PSSPP) du CUSM.  
Ergothérapeute à deux cliniques de psychose précoce du CUSM (PEPP et EPIC)

Le PSSPP du CUSM regroupe plusieurs équipes de professionnels composées de psychiatres et :

D’infirmières : Auprès de patients particulièrement vulnérables, les infirmières jouent fréquemment le rôle de gestionnaires de cas et utilisent une approche holistique pour coordonner les soins aux patients. Leur tâche comprend des évaluations complètes et des interventions tant en santé physique qu’en santé mentale. Les infirmières utilisent divers outils et approches thérapeutiques (notamment cognitives) qui tiennent compte des pratiques exemplaires en vigueur. Elles jouent également un rôle dans l’éducation des patients et de leurs familles, dans l’intervention en cas de crise et la prévention des crises ainsi que dans la gestion des soins intensifs. 

D’ergothérapeutes : L’ergothérapie permet de limiter le déficit psychosocial et aide les personnes à atteindre leurs objectifs de réadaptation. Elle s’appuie sur le soutien, l’éducation et le développement de compétences en matière d’autosoins, de productivité et de loisirs. Les évaluations pour déterminer quels éléments doivent être développés sont faites au moyen d’outils standardisés, d’entrevues et d’observations. Il peut s’agir de développement de compétences (interpersonnelles, cognitives, vie quotidienne) et de modification de l’environnement (domicile, école, milieu de travail). Dans le cas de la psychose, les interventions et les évaluations portent fréquemment sur l’impact de la maladie sur la conscience de soi et l’impact de la maladie sur la déficience sociale ou cognitive sur la vie quotidienne, le travail et les études.

De travailleurs sociaux : Le travailleur social joue un role clé, car il doit s’assurer que chaque patient reçoit le suivi des soins auxquel il a droit. Pour ce faire, il doit être en contact avec les ressources communautaires responsable de la promotion du bien-être des personnes et de leurs familles tout au long de leur vie.