La semaine de l'inhalothérapeute 2023

Merci à Nikolay et à tous ses collègues pour l'excellent travail qu’ils accomplissent. Joignez-vous à nous, en octobre, pour célébrer la semaine de l'inhalothérapeute du 22 au 28 octobre !

Q 1. Qu’est-ce qui vous a amené à devenir inhalothérapeute?

Mon profond intérêt pour la technologie de la ventilation mécanique, de même que la possibilité d’aider les personnes qui l’utilisent. La ventilation mécanique est une intervention avancée et salvatrice qui exige, de la part des inhalothérapeutes, un mélange parfait de connaissances cliniques, de pensée critique et de compétences techniques. Elle présuppose la compréhension de certaines de mes disciplines favorites en sciences fondamentales, y compris la physiologie. Je trouve toujours gratifiant de voir comment je peux aider mes patients.

 

Q 2. Quel est le meilleur conseil qu’un employé du CUSM vous ait donné?
« Nous sommes là pour nos patients. » Autrement dit, dans nos fonctions de cliniciens, nous avons l’objectif de donner des soins axés sur le patient. Ce principe est particulièrement utile pour établir nos priorités dans les situations cliniques complexes que nous affrontons tous les jours, par exemple à l’unité de soins intensifs.

 

Q 3. Parlez-nous du travail avec vos collègues.

Le travail d’équipe est essentiel à notre travail. Dans le système de santé moderne, il est impossible de travailler en solitaire pour traiter les patients. Les inhalothérapeutes s’entraident constamment dans diverses situations difficiles, comme le traitement des patients dans un état critique. C’est un plaisir pour moi que d’aider mes collègues, et il est toujours agréable de les entendre me demander : « Est-ce que ça va? As-tu besoin d’aide? »

 

Q 4. Comment aimez-vous vous détendre après un quart de travail?

Pendant mes congés, j’aime passer du temps avec ma fille, qui vient tout juste de commencer la garderie. Quand je vais au parc ou aux cours de natation avec elle, ça m’aide à me détendre et à refaire le plein d’énergie après des quarts de travail difficiles à l’hôpital.